Les conditions de travail de certains de nos collègues se dégradent, voir même commencent à mettre en danger leur santé et leur sécurité !

Chez le client Dior (le revers du monde du luxe) :

Sur le site au 3 rue François Ier, nos collègues n’avaient pas assez de chaises pour s’asseoir.

Les hommes et les femmes étaient obligés de partager l’unique sanitaire du bâtiment.

L’environnement était extrêmement bruyant, faute de place.

Réponse d’Experis après alerte de la CGT : « le point a été pris par la direction ».

Quelques jours après notre remontée, un bureau supplémentaire a été trouvé.

Cependant, aucune action n’a été constatée / entamée pendant quatre semaines, les directeurs Experis avaient connaissance de cette situation, ils l’ont laissé pourrir !

Chez Naval Group (le feuilleton continue) :

Présence d’amiante dans les locaux de Cherbourg.

Experis continue encore à faire l’autruche et refuse de prendre les mesures nécessaires avec le client, pour fournir à nos collègues des attestations d’exposition à l’amiante.

Cela commence à sentir le droit de retrait pour danger grave et imminent pour la santé, prévu par la loi. (Art. L. 4131-1 à L. 4131-4 du Code du travail.).

La CGT a lancé une alerte auprès du DG, une réunion d’urgence du CSSCT a lieu cette semaine.

Chez Moët Hennessy (comportement honteux du commercial) :

Non paiement des astreintes demandées par le client, sous le prétexte qu’elles n’ont pas été facturées au dit client. Bientôt Experis ne vous versera plus de salaire à ce compte là !

Cette réponse est inadmissible venant d’un « TOP Employer ».

Suite à la remontée effectuée par la CGT, le DRH nous a donné raison.

Nous remontons les soucis pour lesquels vous nous contactez.

Cependant, la direction fait très clairement de la discrimination syndicale, en refusant d’inscrire à l’ordre du jour nos questions lors des séances mensuelles du CSE. Une alerte a été effectuée auprès de l’inspection du travail. Est-ce que la CGT poserait des questions qui fâchent ?